Installés à Alès, Montpellier, Lunel ou Avignon, ces Turcs ont voté ce dimanche 24 juin pour les élections présidentielle et législatives de leur pays d’origine. De façon dépassionnée (ou presque), ils expliquent pourquoi, selon, eux, Erdogan a gagné. [Lire plus…]
Ndlr : pour l’avoir changée, il l’a changée… entre le recul des droits des femmes, les projets mégalos, les mosquées qui poussent comme des champignons…
Sur le site de la banque mondiale on peut voir que depuis 2013 tous les chiffres sont en baisse et pas qu’un peu : inscriptions à l’école, RNB/habitant et PIB. En outre, s’il est vrai que la Turquie est peu endettée, en réalité son service de la dette est très coûteux et sa balance commerciale extérieure s’effondre littéralement. Ce qui est trompeur et fait croire des choses aux turcs, c’est l’effondrement du ratio de pauvreté par rapport au seuil de pauvreté. Mais en réalité ils connaissent depuis plusieurs années une inflation majeure alors que le seuil de pauvreté n’a pas augmenté. Forcément, même si les pauvres sont de plus en plus pauvres, dans les statistiques leur ratio diminue. Mais en réalité c’est juste qu’entre-temps le seuil de pauvreté s’est transformé en seuil de misère.