Ce qui est bon pour l’écologie peut aussi l’être pour les finances publiques. Exemple en Estonie où la gratuité des transports a eu des effets inespérés !
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Ndlr : J’ai toujours été pour la gratuité des transports, à titre personnel, mais nous sommes nombreux dans ce cas. Le transport, c’est le sang de la civilisation. Si vous lui mettez des barrières, le prix en est une, vous ralentissez son flux et donc l’économie est plus essouflée, c’est aussi simple que ça. L’argument des opposants est qu’après ce sont les impôts qui doivent couvrir les coûts. C’est vrai, mais pour semer il faut récolter et ensuite pour faire le calcul, il faut avoir une vision globale de la situation. La ville qui aurait le plus à en retirer, à coup sûr, ce serait Paris. Enlever purement et simplement tous les portails du métro, que le rythme de passage des rames soit aussi élevé que possible, gratuitement. Ce serait aussi vrai dans une moindre mesure pour Lyon et Bordeaux Très rapidement ces villes gagneraient en dynamique.