Il y a quelques années, l’homme d’affaires Larry Fink se montrait critique sur cette cryptomonnaie. Mais le «risque politique et l’augmentation de la dette publique», lui ont fait changer d’avis, a-t-il déclaré sur la chaîne CNBC. [Lire plus…]
Ndlr : C’est très étonnant comme réaction. De la part de quelqu’un comme Trump ça peut s’expliquer, mais de la part de quelqu’un comme Larry Fink, s’imaginer que le Bitcoin permet une conservation de la valeur, c’est surprenant. Parce que le Bitcoin n’a de valeur que comparative à la monnaie. Si les Etats –et donc les devises– se cassent la gueule, le Bitcoin ne vaut plus rien puisqu’il n’a pas de valeur intrinsèque. C’est un mode de pensée comme ceux qui retirent leur argent des banques parce que comme ça ils sont sûrs si jamais le système se crashe qu’ils auront leur argent avec eux. C’est évidemment absurde, puisque si l’argent ne vaut plus rien… Mais bon, ce ne serait pas la première fois qu’un esprit brillant cède aux sirènes populistes. Michel Rocard a bien déclaré un jour que la dette souveraine était une escroquerie organisée avec les banques pour dépouiller les populations. C’est consternant, mais ça arrive.