Mal-logement : 1,3 million de «Tanguy» de plus de 25 ans encore chez leurs parents

Mal-logement : 1,3 million de «Tanguy» de plus de 25 ans encore chez leurs parents

Chômage, bas salaire, précarité, loyers trop élevés… Les jeunes subissent de plein fouet la crise et certains trouvent refuge chez leurs…
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Ndlr : Le problème c’est cette notion de « Tanguy » et non pas d’être chez ses parents à 25 ans. C’est notre société moderne qui a décrété qu’à un certain âge on devait partir. Mais si au lieu de faire 3 studios et 5 deux pièces dans un appartement familial normal on avait laissé les choses se faire naturellement, les familles vivraient toujours entre elles. Certains avantages sociaux ont eu pour conséquence la dissémination de la famille, comme le chômage, qui a rendu autonome celui qui n’avait plus de boulot et donc à dédouané la famille de s’en préoccuper, ce qui a induit un distancement. Mais aussi la recherche d’optimisation de la surface, visant à mettre le plus possible de lapins dans le plus de clapiers possibles qui sont autant de loyers. La réalité sociale naturelle est que les familles sont faites pour vivre ensemble, dans leur maison et que cette tendance à la déconstruction du noyau nucléaire est à l’origine de passablement de troubles sociétaux majeurs évidents et pourtant niés.

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