Un poêle minuscule dans l’entrée, un coin cuisine-salle à manger surmonté d’un lit-mezzanine, une douche, des toilettes sèches et la photo de sa fille: chez Muriel, qui vit dan
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Ndlr : Les conséquences de la déflation des dérives du capitalisme, pendant que les riches occupent des maisons de plus en plus grandes, les pauvres ont des maisons de plus en plus petites, l’inégalité poussée à l’extrême. Un air de fin du monde pour les victimes qui les occupent. Il y a encore 50 ans, elles affichaient ce qu’elles étaient et qu’elles sont toujours : un signe extérieur de misère et d’injustice sociale. Le pauvre redevient un romanichel, à défaut d’avoir sa place dans cette société désormais injuste.
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