Tout en la critiquant, plus de neuf Français sur dix restent viscéralement attachés à la démocratie. C’est ce que révèle une étude Viavoice. Elle fait émerger leurs propositions (parfoi
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Ndlr : Sur le fond, ces attentes me semblent tout-à-fait raisonnables, mais je suis contre la capacité du peuple de démettre un élu, parce qu’alors les élus ne pourront tout simplement plus gouverner; Toute décision n’est pas bonne à prendre et le peuple veut toujours virer tout le monde. Pourtant la gouvernance implique des choix qui ne plairont pas toujours. Et le populisme fait que le peuple accroche à des peccadilles qui feraient le beau jeu politicien. Les populistes de tout bord se feraient une joie de passer leur temps à faire virer l’un ou l’autre. La gouvernance, à tous les niveaux, implique un minimum de liberté, d’indépendance et de tranquillité. En revanche il faut clairement que le peuple intervienne beaucoup plus dans la vie publique. Certains référendums peuvent être réalisés, par exemple sur la corrida, mais il est inenvisageable d’en proposer sur l’Europe, le peuple ne comprenant de loin pas les implications de son vote. Il faut comprendre que la population vote pour le démago le plus populiste le plus simpliste, sans autre considération. Alors il faut faire autrement, une assemblée consultative permanente sur Internet, par exemple. Mais aussi un système économique de financement participatif bénéficiant de la création monétaire grâce auquel le peuple pourrait ainsi appuyer sur le chemin qu’il souhaite prendre en sélectionnant directement les projets qu’il souhaite voir aboutir. Mais, pour cela, il faut des outils politiques, au fonctionnement actuel et capables d’évolution vers les futurs systèmes : http://renouveausocietal.fr