Changement climatique, pollution, déforestation… Les espèces animales disparaissent environ 100 fois plus rapidement que par le passé, selon une étude scientifique. Les experts, soulignant qu’ils
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Ndlr : Je ne crois pas un seul instant que l’humanité soit menacée, elle est bien trop adaptable. Au pire, un élagage drastique de sa démographie, payé évidemment par les couches les plus faibles des régions les plus pauvres. Mais tout ceci ne prend pas en considération que l’humanité est la première espèce qui aura bientôt acquis la capacité de s’alimenter par des aliments non naturels et de reconstituer la flore et la faune par la science. Nous sommes à un point déclinant, c’est un fait, mais dans l’avenir les avions produiront de l’oxygène en volant, nous allons utiliser les algues issues de la pollution pour produire des matériaux plastiques. Le CO2 atmosphérique sera une source d’énergie inépuisable pour produire de l’énergie en le convertissant en oxygène, etc…etc…Non, nous ne sommes pas menacés et la biodiversité non plus. Même en imaginant que nous nous retrouvions à la fin de ce siècle avec la moitié de la population humaine, le trois quart des espèces disparues et les deux tiers de la forêt mondiale détruite, ça ne signifie pas que nous ne puissions pas nous retrouver à la fin du XXIIème siècle avec une faune et une flore plus exubérante encore que ce qu’elle était au début du XXème siècle. Il ne s’agit que d’un épisode anecdotique. L’homme apprend à maîtriser ses nouveaux pouvoirs que la singularité technologique et scientifique lui apportent.