La Fed estime que le resserrement prévu de la politique monétaire et le creusement du déficit budgétaire vont pousser les taux d’intérêt à long terme à la hausse. L’institution a par ailleurs qualifié
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Ndlr : Quand Trump a été élu, j’ai dis, texto, que sa politique absurde offrirait des aspects positifs durant un an, voire deux… et après les choses changeraient. C’est clair que ne sont pas les petits krashouillis boursiers qui vont changer la donne. Les marchés se retournent parce que les investisseurs adaptent leurs porte-feuilles aux opportunités purement capitalistes sauvages que Trump offre. Le problème est bien plus structurel. Ce qui se passe là est la conséquence directe de la politique de Trump. C’est lui qui a emballé la bourse et mis l’économie américaine en surchauffe. Une croissance de plus de 3% alors qu’il a sorti plusieurs millions de consommateurs n’est pas supportable. Là, il s’est heurté au mur de la finance, qui a saturé, à la suite de quoi les entreprises vont se heurter au mur de l’embauche, manquant de main de la main d’oeuvre étrangère qu’il a foutue dehors, le déficit budgétaire le confrontera au mur des intérêts souverains qui vont s’envoler en raison de sa politique fiscale. Ce fou a réussi à réaliser en un an ce que Reagan avait mis trois ans pour faire. Les USA paient encore la politique de Reagan, celle de Trump va faire encore beaucoup plus mal. Il coûtera au final au moins 5000 milliards avec un taux d’intérêts dramatique. Le pire étant qu’il entraîne toute la planète avec lui, en espérant que ce fou ne déclenche pas encore en plus une guerre atomique. Les USA ne se sont finalement jamais remis complètement de Reagan, là ça va les achever pour un moment. Et le reste du monde mettra au moins 20 ans à digérer la gouvernance de ce clown. Le problème dans tout ça, c’est Trump, parce que pour lui plus il y a de croissance mieux ça vaut, il n’a aucune idée des conséquences de la surchauffe de l’économie. Il l’avait dit qu’il voulait être le président qui aurait crée le plus d’emplois dans l’Histoire. Et on peut compter sur lui qu’il le fera quitte à épuiser en deux ans les trente prochaines années de marché. Rien ne freinera ce demeuré. https://www.capital.fr/entreprises-marches/taux-americains-des-risques-pour-les-emergents-et-la-zone-euro-s-p-1271164 Autrement dit, on est foutus les potos, ce cinglé va nous achever.