Dans son rapport sur l’année 2012, l’Insee indique que le taux de pauvreté recule légèrement par rapport à 2011. Il affirme aussi que le niveau de vie des plus démunis continue de chuter.
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Ndlr : On ne le répetera jamais assez, la situation est NORMALE! C’est une conséquence de la résistance au changement de notre société qui refuse l’évolution. La transition sociétale est inéluctable et doit être effectuée d’urgence. Il est urgent d’accepter que l’emploi c’est terminé et qu’il faut mettre en place un nouveau dispositif de répartition de richesse. Depuis 40 ans le nombre d’heures de travail réalisées par des humains, et donc payées à des humains, ne cesse de diminuer en proportion de la création de richesse qui elle ne cesse d’augmenter. Dans un système centré sur le travail où la répartition de richesse se fait par le salaire, c’est une catastrophe, parce que l’Etat se retrouve contraint d’assumer sa fonction sociale qui lui coûte de plus en plus cher puisqu’il y a de plus en plus de bénéficiaires et ça alors qu’en parallèle il encaisse de moins en moins de charges sociales. D’autant que la compensation ne couvrant pas l’intégralité du revenu, la consommation baisse, diminuant les rentrées fiscales. Pour réaliser tout ceci, l’Etat doit alors s’endetter. En face, les riches encaissent directement les salaires qui ne sont plus versés aux ouvriers pour la production de richesse et deviennent donc de plus en plus riches. Et la situation peut perdurer jusqu’à ce que l’Etat ne puisse plus emprunter, soit surendetté, le taux d’intérêt de la dette augmentant au-delà de ses moyens. Les pauvres s’appauvrissent alors, la consommation s’effondre, la monnaie des pays décrédibilisés suit la même pente, les riches sont ruinés et l’économie est détruite. Il est donc URGENT de remettre en route la répartition de richesse en se basant sur les nouveaux paradigmes imposés par cette évolution naturelle et heureuse. http://transition-societale.thierrycurty.fr On s’accroche à nos vieux râteaux pour récolter plus de blé, mais les épis glissent passent par les dents qui manquent.