Si j’ai eu la chance d’en sortir vivant, ce n’est pas le cas de tous mes collègues.
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Ndlr : C’est quand même assez curieux, aussi bien au Kenya qu’en Afrique du Sud, quand j’étais jeune, les rangers les tiraient au fusil à lunette et, tout-à-coup, il y a 25 ans, on a décrété que c’était contraire aux Droits de l’Homme et depuis ce sont les miliciens qui risquent leur peau pour limiter la destruction de la vie animale en évitant de blesser ces salopards qui eux sont évidemment beaucoup moins regardants. La civilisation dérape et se trompe de personnes à protéger.
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