Les bureaux du quartier des affaires londonien ont perdu 6,1 % de leu
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Ndlr : Bon, c’était évidemment une conséquence logique, que j’avais annoncée dès le départ, mais je ne m’attendais pas à une réaction aussi violente aussi vite. Il faut dire que je ne pensais pas non plus que le marché de l’immobilier l’avait anticipé… Maintenant c’est au tour de l’habitat, avec des logements qui vont se vider, les prix vont s’effondrer, ruinant des tas de propriétaires qui vont faire faillite, faisant perdre leurs crédits aux banques…
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