L’entreprise anglaise estime que la consommation de pétrole va baisser dans une vingtaine d’années. Le covoiturage et l’essor des voitures électriques expliquent la fin de cette hégémonie.
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Ndlr : Il n’aura pas fallu longtemps pour que j’aie une fois de plus raison. Il y a un mois à peine je me faisais railler en le disant. Evidemment, ça a toujours plus de jus quand c’est BP qui le dit. D’ici 2019 les USA auront rétabli leurs infrastructures et vont inonder le monde de leur pétrole rendant impuissant l’OPEP sur les cours >> baisse ! D’ici 2020 la reprise mondiale va commencer à s’essoufler, entraînant une baisse de la demande >> baisse ! D’ici 2022 explosion du nombre de véhicules électriques et du déploiement des ENR, d’où fléchissement de la consommation mondiale >> baisse ! D’ici 2025 effondrement de l’offre en raison du manque d’argent pour l’exploration, incitant la population a renoncer au pétrole et donc accélération de la diminution de la demande >> baisse ! D’ici 2030 fin de la domination du pétrole comme principale énergie de la planète au profit des ENR >> baisse ! D’ici 2040 demande atone, coûts d’exploitation délirants signant la fin de l’exploitation de masse du pétrole >> fin de l’ère du pétrole ! Jusqu’en 2050 nous aurons ensuite encore du pétrole issu des dernières sources existantes à l’extraction peu coûteuse. Des alternatives seront mises en place qui concurrenceront le pétrole qui disparaîtra au gré de l’épuisement des puits ou de leur abandon pur et simple. En 2070 ce sera la fin définitive des moteurs thermiques (sauf véhicules et machines de collection, évidemment Bien sûr, tout ceci n’exclut pas des périodes de hausse, la baisse ne sera jamais linéaire, mais les hausses seront de plus en plus anecdotiques jusqu’à l’être trop pour compenser les périodes de baisses.