« Acheter un bunker, c’est comme avoir un extincteur à la maison »

« Acheter un bunker, c’est comme avoir un extincteur à la maison »

C’était une terre perdue de 4 600 hectares située à la pointe sud-ouest du Dakota du Sud. Un camp militaire où l’armée américaine entreposait des munitions durant la Seconde Guerre mondiale. Jusqu’à ce que Robert Vicino et son fils Dante ne décident, début 2020, de racheter cette ville fantôme pour proposer à la vente les 575 bunkers qu’elle abrite. [Lire plus…]

Ndlr : Au-delà du survivalisme, c’est là que l’on voit à quel point les américains sont des pionniers, capables de résilience. Ils agissent en prévision d’une catastrophe, mais là ils vont se créer une vraie petite ville. Aujourd’hui les bunkers se vendent, arrivent les premiers habitants qui les aménagent. Puis il s’y créera de l’activité, il y en a d’ailleurs déjà puisque l’un d’eux travaille pour les autres à leur bricoler les bunkers. Il y en aura bien un pour créer un magasin, un autre un atelier de mécanique. Puis ils aménageront les extérieurs, nommeront un conseil municipal.

C’est étonnant comme nous sommes sclérosés et comme ils sont dynamiques.

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