En 2040, une grande partie de la viande sera cultivée en laboratoire

En 2040, une grande partie de la viande sera cultivée en laboratoire

D’ici 2040, une grande partie de la viande consommée dans le monde sera cultivée en laboratoire. Les « viandes » végétales devraient également prendre de plus en plus de place. Les « viandes » cultivées et les substituts devraient commencer
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Ndlr : C’est ce que je prédis depuis des années et c’est une avancée mirobolante. Si nous pouvions parvenir à ce que 35% de la viande soit d’origine synthétique, c’est autant d’élevage industriel en moins. D’un point de vue écologique et respect de l’animal, l’effet est considérable évidemment.

Mais elle a d’autres avantages, elle est aussi plus saine, parce que non issue d’un animal qui a ingéré des pesticides, elle n’a jamais connu de polluants.

Cela dit, l’image est trompeuse, parce que nous n’aurons vraisemblablement jamais de fausses entrecôtes. La viande synthétique n’a pas pour fonction d’imiter la viande naturelle. Elle ira améliorer la qualité des plats industriels. Aujourd’hui, dans les steaks hachés premier prix il n’y a pour ainsi dire pas de viande, c’est surtout du gras, du tissu conjonctif, des résidus de barbaque. De même dans les raviolis ou les lasagnes bolognaises. Là, il deviendra possible d’avoir de la vraie viande dans ces préparations qui du coup augmenteront en qualité sans forcément monter en gamme.

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